Psychologue

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Avant de commencer

La présence d’un psychologue auprès d’une personne avec une trisomie 21 peut être envisagée de manière ponctuelle ou à des moments clés de son parcours.

Comme pour toute autre personne, cet accompagnement se veut singulier et non systématique.

Le psychologue participe au développement des différentes compétences de la personne : reconnaître et gérer ses émotions, appétence aux apprentissages, se connaître, être en lien avec les autres, développer et renforcer les capacités à faire des choix (autodétermination), savoir communiquer sur sa propre situation et celle de ses pairs (autoreprésentation), savoir aider et soutenir ses pairs (pair-aidance).

De même, la famille (parents, fratrie, …) peut également solliciter le psychologue afin d’évoquer son vécu, poser ses questions, mettre des mots sur ses ressentis, …

Handicap, positionnement dans la relation, et bien d’autres thématiques pourront être exprimés.

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Avant de commencer

Tout le monde peut avoir besoin de voir un psychologue un jour dans sa vie.

Le psychologue aide la personne à développer ses compétences.

Le psychologue peut aider la personne à mieux se connaître.

Le psychologue peut aider la personne à se sentir mieux avec les autres.

Le psychologue peut aider la personne à faire des choix.

Le psychologue peut aider la personne à exprimer ce qu’elle ressent.

La famille peut également avoir besoin de voir un psychologue pour parler du handicap et de ce qu’elle ressent.

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L'autodétermination : notion transversale

Généralités :

L’autodétermination est un concept clé dans l’accompagnement des personnes en situation de handicap.
L’autodétermination est la capacité « d’agir directement sur sa vie en effectuant librement des choix non influencés par des agents externes indus ». D. Boisvert, 1998
Favoriser l’émergence et le développement de l’autodétermination a pour objectif de permettre aux personnes de devenir les acteurs principaux de leur vie.
Ils peuvent ainsi faire des choix et prendre des décisions en fonction de leurs désirs et des contraintes de réalité ou encore exercer le contrôle de leur vie et se réaliser en tant que citoyen à part entière.

En pratique, il s’agit :

– de reconnaître aux personnes la capacité de s’impliquer dans les divers domaines de leur vie ;
– de soutenir les personnes dans l’exercice de leur pouvoir d’influence et d’action sur leur vie ;
– d’être dans des rapports d’égalité en se situant « à côté » et ne pas faire « à la place de » pour permettre aux personnes de prendre part aux décisions qui les concernent ;
– de veiller à favoriser l’implication de la personne en créant un environnement qui offre les possibilités d’expérimenter, de s’exprimer, de choisir, de partager, de se tromper et d’apprendre de ses erreurs.

L’autodétermination est ainsi un processus qui se développe tout au long de la vie.
Dès le plus jeune âge, par exemple, l’enfant commence à faire ses premiers choix (vêtements, jouets, etc.) et prend progressivement conscience des conséquences de ses actes à travers différents jeux ou encore à travers différentes expériences de vie.
Offrir la possibilité d’expérimenter est d’ailleurs un des aspects les plus importants permettant de favoriser l’autodétermination au quotidien.

En offrant ainsi la possibilité de faire ses propres expériences, l’environnement de la personne permet et accompagne sa capacité d’autodétermination :
– Quelles sont mes envies et mes attentes ?
– Quelles sont mes compétences mais aussi mes difficultés ?
– Quelles sont mes contraintes (lois, le cadre que je dois respecter) ?
– Quelles sont mes émotions et comment les gérer ?
– Quels sont les moyens dont je dispose et/ou que je pourrais mobiliser en cas de difficultés ?
– De quelle manière puis-je agir sur mon environnement ?

4 caractéristiques de l’autodétermination

Lorsque l’on parle d’autodétermination, on parle en effet de 4 composantes qui sont en interrelations permanentes au quotidien :

  1. Autonomie :

On entend par là une autonomie affective au sens de l’individuation psychique.

  1. Autorégulation :

L’autorégulation concerne tout ce qui touche à la résolution de problèmes, aux possibilités de se fixer des buts et de les atteindre, à l’auto-observation et à l’auto-évaluation.
Il s’agit des possibilités que les personnes possèdent pour évaluer leur environnement ainsi que les différentes réponses possibles (stratégies) permettant de décider des possibilités d’agir, des choix à faire, des actions à entreprendre.
Les personnes peuvent ainsi développer un sentiment d’autonomie psychique permettant d’atteindre les résultats souhaités.
Il s’agit également de la capacité de réguler ses émotions.

  1. Empowerment Psychologique (auto efficacité-contrôle-réussite) :

Nous parlons ici du sentiment d’efficacité personnelle, de la capacité d’anticiper les résultats de ses actes, de la capacité d’agir sur son environnement, du sentiment d’avoir un contrôle sur sa vie.
Il s’agit de la capacité à connaître les ressources et les capacités nécessaires dont on dispose pour résoudre un problème, pour atteindre un objectif, pour améliorer la qualité de sa vie.

  1. Autoréalisation :

L’autoréalisation est la connaissance (connaissance et maîtrise de son fonctionnement et de ses caractéristiques personnelles) et la conscience de soi (se percevoir comme une personne à part entière, distincte des autres).
Il s’agit ici de la capacité de tirer profit de ses forces et de ses faiblesses, d’exprimer ses points de vue, ses sentiments, ses émotions.
Pour travailler l’autodétermination, il est nécessaire de s’intéresser à la personne en relation avec le monde qui l’entoure et dans lequel elle évolue.
L’environnement (famille, enseignants, équipes des structures de loisirs, équipes des lieux professionnels, etc.) offre des opportunités de faire ses propres expériences et de réfléchir sur celles-ci.
Ces opportunités favorisent l’émergence, le développement et l’expression des compétences d’autodétermination.

Cette vidéo vous permettra de mieux comprendre le concept d’autodétermination.

Exemples de supports pour vos séances

Voici des outils de psychopédagogie intéressants pour travailler autour des compétences d’autodétermination des personnes accompagnées.
“C’est la vie de qui après tout ? » est plus à destination des adolescents et « Imagine ton projet de vie » pour les adultes.

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L'autodétermination : notion transversale

L’autodétermination, c’est pouvoir décider de sa vie.

C’est moi qui décide.

L’autodétermination, c’est pouvoir choisir.

C’est moi qui choisis.

L’autodétermination, c’est se sentir capable.

Je sais que je peux y arriver.

L’autodétermination, c’est se connaître.

Je connais mes qualités et mes défauts.

L’autodétermination, c’est respecter les règles…

« Je sais comment me comporter ».


Voici un exemple pour expliquer l’autodétermination :

Je choisis de prendre le bus tout seul pour la première fois.

Je sais que je peux y arriver.

Je suis capable de prendre le bus tout seul.

Tous les jours, les personnes font preuve d’autodétermination.

A tous les âges, une personne peut faire preuve d’autodétermination.

Par exemple quand je choisis mes vêtements, mon dessert…

L’autodétermination peut s’améliorer.

Pour améliorer son autodétermination, la personne a besoin d’essayer, de faire des expériences.

Le psychologue peut aider à développer l’autodétermination d’une personne.

Le psychologue va travailler alors avec la personne, avec sa famille, ses collègues de travail et toutes les autres personnes qui l’entourent.

Voici une petite vidéo qui explique simplement l’autodétermination.

Vous pouvez cliquer sur l’image pour lancer la petite vidéo.

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La question des émotions

Généralités :

Soutenir la gestion des émotions est un accompagnement qui peut être proposé dès le plus jeune âge avec le soutien de la famille.
Verbaliser sur son propre état émotionnel et questionner l’enfant sur l’émotion ressentie permettent de soutenir l’émergence ainsi que le développement du vocabulaire en lien avec l’état émotionnel.
Cette dynamique permet également de donner du sens à ce que ressent l’enfant.
Progressivement, l’enfant apprend à poser des mots sur ses émotions, sur ses ressentis puis à s’autoréguler.
Au travers de différents jeux (grimaces, imitations, etc), les enfants acquièrent des connaissances sur eux-mêmes mais aussi des connaissances nécessaires à l’interprétation de l’émotion de l’autre (enfant, adulte).
Le travail autour des émotions soutient ainsi le travail sur la connaissance de soi-même, de son identité, de ses forces et de ses faiblesses.
Pendant l’enfance et parfois à l’âge adulte, la personne avec une trisomie 21 peut être en difficulté pour partager son émotion, son sentiment ou encore le ressenti d’une douleur.
Certains types de comportements (une agitation motrice, des réactions stéréotypées, etc) peuvent alors être interprétés de manière erronée et masquer l’expression d’une émotion.
Les outils visuels (pictogrammes, photos, etc.) peuvent être des supports précieux donnant le moyen aux enfants comme aux adultes de communiquer.
Ce travail peut être fait aussi bien avec les enfants qu’avec les adultes.

Quelques pistes de supports

Les images, les photos, les photolangages, les vidéos peuvent être de bons médiateurs pour permettre le soutien et l’expression des émotions ainsi que la réflexion, l’élaboration autour de différents sujets en s’appuyant sur l’image.

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La question des émotions

Le psychologue aide la personne à comprendre ce qu’elle vit.

Le psychologue aide la personne à mettre des mots sur les émotions qu’elle ressent.

Une personne peut se sentir mieux et mieux comprendre les autres en mettant des mots sur ses émotions.

Les émotions ça peut être : la joie, la tristesse, la colère…

Par exemple, les pictogrammes, les photos aident à comprendre ses émotions.

Le psychologue peut utiliser des images, des photos pour aider la personne à dire ce qu’elle ressent.

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Quelques pistes fonction de l'âge

En cliquant sur les rectangles verts, vous trouverez des pistes de réflexion et d’accompagnement afin de penser le suivi psychologique des personnes avec une trisomie 21 : 

0-3 ans
3-7 ans
7-12 ans
12-18 ans
A l’âge adulte

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Quelques pistes en fonction de l'âge

Voici quelques pistes en fonction de l’âge qui peuvent être importantes à mettre en place chez une personne avec une trisomie 21 dès le plus jeune âge avec le psychologue.

Vous pouvez cliquer sur les rectangles verts pour avoir des informations  en fonction de l’âge : 

0-3 ans
3-7 ans
7-12 ans
12-18 ans
A l’âge adulte
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Bilans psychologiques

Il est possible d’évaluer les fonctionnements cognitifs des enfants, adolescents et adultes avec une trisomie 21.
Il n’existe pas à l’heure actuelle de batteries de tests entièrement adaptées à l’évaluation de la population présentant des déficiences intellectuelles.


Nous utilisons donc les batteries existantes lorsque des bilans psychométriques sont demandés/proposés, par exemple WNV, WISC, KABC, NEPSY.


Ce sont des tests psychométriques complets évaluant les compétences cognitives et le fonctionnement en termes de points forts et points faibles.
Leurs passations nécessitent souvent plusieurs séances et ont pour objectifs de mettre en évidence et mieux comprendre le fonctionnement cognitif de la personne.
Cela a une importance toute particulière quant à l’adaptation du matériel scolaire ou même l’adaptation dans la vie de tous les jours (emploi du temps, etc.).
Comme désormais noté par de nombreux auteurs (cf. Manuel d’interprétation WISC-V) calculer un QI n’a plus beaucoup de sens, notamment lorsque le développement des compétences cognitives se fait de manière hétérogène en fonction des domaines.

Le but est d’affiner les potentialités. Il s’agit de donner des éléments qualitatifs liés à l’observation et à l’évaluation des compétences de l’enfant à un moment donné (langage, capacité d’abstraction, positionnement relationnel et affectif, etc…).
Pour les enfants avec une trisomie 21, nous savons que le développement intellectuel est différent de celui des autres enfants et ne suit pas exactement les mêmes modalités d’évolution.
D’ailleurs, la plasticité cérébrale, présente bien plus longtemps chez l’enfant avec une trisomie 21, peut permettre la réalisation des apprentissages parfois un peu plus tard (tels que la lecture, l’écriture, etc.).

A des âges plus avancés, ces batteries participent également aux diagnostics différentiels du vieillissement précoce.

Les bilans peuvent être approfondis, lorsque nécessaire, par des épreuves supplémentaires spécifiques en fonction des domaines (tests d’attention, tests de mémoire, etc.), par des professionnels formés à ces outils de la neuropsychologie.

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Bilans psychologiques

Le psychologue peut proposer de faire des bilans psychologiques.

Les bilans psychologiques aident la personne à mieux comprendre comment elle apprend et comment elle fonctionne.

Les bilans psychologiques permettent de créer du matériel un peu différent.

Ce matériel adapté permet aux enfants d’apprendre à lire, à écrire, à compter.

Pour faire les bilans psychologiques, la personne a plusieurs rendez-vous avec le psychologue.

Le bilan psychologique permet aussi de voir si la personne grandit et vieillit dans de bonnes conditions.

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Ressources bibliographiques

Témoignages de familles

« Ce n’est pas toi que j’attendais », Fabien TOULME Edition Delcourt

« Ma sœur, cette fée cabossée », Clément MOUTIEZ, 2dition Montparnasse, carnets de bord

« Mon fils est trisomique, et alors ? », Rossana TRICOLI, Editions La boite à Pandore

« Cricri », Alice DONNA, Editions Anne Carrière

« Sauve-toi maman… », Michèle LARCHEZ, Editions AFD

Témoignages de personnes avec trisomie 21

« Le livre de FABIOLA », association Airelles vidéo

« Triso et alors ! » Eléonore LALOUX, Edition Max Milo

Livres de professionnels

« L’accompagnement et le soutien par les pairs », Eve GARDIEN, Edition PUG

« Voulez-vous de nous ? », Julien PERFUMO, Edition Nouvelle cité

« Le jeune enfant porteur de trisomie 21 », Bernadette CELESTE et Benoit LAURAS, Edition Nathan Université

« Trisomie et handicap, la parole des jeunes : configurations et itinéraires », Jean-Sébastien MORVAN, Natalie AUGUIN, Valérie TOROSSIAN, Editions de CTNRHI

« Trisomie 21, Aides et conseils », Monique CUILLERET, Edition Masson, Abrégés

« Le miroir brisé », Simone KORFF-SAUSSE, Edition Puriel

« Auto-efficacité, le sentiment d’efficacité personnelle », A. Bandura, (2003). Bruxelles : De boeck ;

« L’individu autodéterminé, anatomie du nouveau caractère social ». Jonas, I. (2003), Paris : L’harmattan ;

« Comment utiliser l’auto-contrôle », Esveldt-Dawson, K., & Kazdin, A.E. (1990). Québec : Univeristé de Laval ;

« Participation et responsabilités sociales ».  Guerdan, V., Petitpierre, G., Moulin, J.P., & Haelewyck, M-C. (2009). Bernes : Peter Lang.

« Pratique de l’intervention individualisée », Magerote, G., & Montreuil, N. (1994). Bruxelles : De Boek Université ;

« Régulation, autorégulation et dysrégulation », Nader-Grosbois, N. (2007). Wavre : Mardaga.

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Livres et autres

Pour créer ce site et donner de bonnes informations, les auteurs ont dû lire des livres et des articles.

Voici des lectures intéressantes :

Témoignages de familles

« Ce n’est pas toi que j’attendais », Fabien TOULME Edition Delcourt

« Ma sœur, cette fée cabossée », Clément MOUTIEZ, 2dition Montparnasse, carnets de bord

« Mon fils est trisomique, et alors ? », Rossana TRICOLI, Editions La boite à Pandore

« Cricri », Alice DONNA, Editions Anne Carrière

« Sauve-toi maman… », Michèle LARCHEZ, Editions AFD.

Témoignages de personnes avec une trisomie 21

« Le livre de FABIOLA », association Airelles vidéo

« Triso et alors ! » Eléonore LALOUX, Edition Max Milo

Voici des livres de professionnels plus compliqués :

« L’accompagnement et le soutien par les pairs », Eve GARDIEN, Edition PUG

« Voulez-vous de nous ? », Julien PERFUMO, Edition Nouvelle cité

« Le jeune enfant porteur de trisomie 21 », Bernadette CELESTE et Benoit LAURAS, Edition Nathan Université

« Trisomie et handicap, la parole des jeunes : configurations et itinéraires », Jean-Sébastien MORVAN, Natalie AUGUIN, Valérie TOROSSIAN, Editions de CTNRHI

« Trisomie 21, Aides et conseils », Monique CUILLERET, Edition Masson, Abrégés

« Le miroir brisé », Simone KORFF-SAU  SSE, Edition Puriel

« Auto-efficacité, le sentiment d’efficacité personnelle », A. Bandura, (2003). Bruxelles : De boeck ;

« L’individu autodéterminé, anatomie du nouveau caractère social ». Jonas, I. (2003), Paris : L’harmattan ;

« Comment utiliser l’auto-contrôle », Esveldt-Dawson, K., & Kazdin, A.E. (1990). Québec : Univeristé de Laval ;

« Participation et responsabilités sociales ».  Guerdan, V., Petitpierre, G., Moulin, J.P., & Haelewyck, M-C. (2009). Bernes : Peter Lang.

« Pratique de l’intervention individualisée », Magerote, G., & Montreuil, N. (1994). Bruxelles : De Boek Université ;

« Régulation, autorégulation et dysrégulation », Nader-Grosbois, N. (2007). Wavre : Mardaga.

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Glossaire des sigles

– AESH: Accompagnant des Elèves en Situation de Handicap

– IME : Institut Médico-Educatif

– ITEP : Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique

– SAMSAH : Service d’Accompagnement Médico-Social pour Adultes Handicapés

– SESSAD: Service d’Education Spécialisée et de Soins à Domicile

– ULIS : Unité Localisée pour l’Inclusion Scolaire

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Glossaire des sigles

– AESH :

Accompagnant des Elèves en Situation de Handicap.

Ce sont des personnes qui aident l’enfant à l’école et en classe.

– IME :

Institut Médico-Educatif.

Les IME sont des endroits dans lesquels les enfants peuvent aller à l’école avec d’autres enfants en situation de handicap.

Dans les IME, l’enfant travaille aussi son autonomie.

– Le dispositif ITEP :

L’ITEP est un endroit qui accueille des enfants, des adolescents et des adultes.

Les personnes peuvent avoir des problèmes psychologiques ou des troubles du comportement.

– SAMSAH : 

Service d’Accompagnement Médico-Social pour Adultes Handicapés.

Un SAMSAH est un service avec des professionnels qui peuvent aider les adultes à devenir plus autonomes.

– SESSAD :

Service d’Education Spécialisée et de Soins à Domicile.

Un SESSAD est un service avec des professionnels qui peuvent aider les enfants à être plus autonomes.

– Le dispositif ULIS :

ULIS veut dire Unité Localisée pour l’Inclusion Scolaire.

Le dispositif ULIS sert à aider l’école à bien accueillir un élève avec un handicap.

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